Plaisirs rentables

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il y a 13 ans

Plaisirs rentables

J'étais une étudiante fauchée qui s'envoyait en l'air en toute discrétion en gagnant de l'argent donc comme on dit « une salope » mais je suis fière de l'être car quand je mourrai je n'aurai pas de regret. Pour m'aider à payer mes études, mes parents étant fauchés comme les blés se privaient de manger ou presque. Les heures à Mac-Do payées au smig étant épuisantes et nuisant à mon temps de travail perso, l'idée de faire la pute m'a traversé l'esprit. La première fois, c'était avec un routier et j'en garde de sublimes souvenirs.

La première fois

Afin d'économiser mon maigre budget, j'ai bien souvent fait du stop pour aller à Paris à l'école vétérinaire. Je préférais les beaux camions aux voitures, car ils font de très longs trajets. Les voitures sortent bien souvent deux ou trois sorties plus loin, ce qui oblige à attendre pouce en l'air à nouveau au péage. Les mecs draguent ou proposent de façon plus ou moins vulgaire un peu d'argent. Au début, j'étais furieuse de ces propositions dégradantes, lorsqu'une fois l'idée m'est venue de céder à la tentation avec un très beau brun viril d'une quarantaine d'années que j'aurai bien croqué gratuitement sauf que lui, ne me proposait rien.

Pour déclencher en lui des idées irrespectueuses, je lui ai parlé de mes soucis d'argent et comme il ne me proposait toujours rien, (grrrr) je lui ai parlé des vieux routiers qui me faisaient des propositions en ajoutant « s'ils étaient beau comme vous, j'aurai pu céder à la tentation pour que mes parents et moi on ne se prive pas de bouffer pour payer mes études». La chose n'a pas tardée, il m'a expliqué qu'il comprenait et que si je voulais sauter le pas avec lui, il n'aurait rien contre de donner un peu d'argent à l'étudiante charmante qu'il draguerait bien.

Si dans un sens j'étais ravie j'étais également aux pieds du mur, car en parler c'est bien mais le faire me parut soudain difficile. Ultra respectueux, il m'a proposé de me lancer avec lui, qu'il comprendrait et ne me laisserait pas sur le bord de la route si je décidais d'arrêter tout. Que demander de mieux ?

J'ai demandé 100 euros, il m'a proposé 50, nous avons transigés à 75, la discussion sur la partie s'est faite presque en rigolant et avec de grands sourires charmeurs. La somme étant définie, il m'a demandé d'ouvrir son pantalon. Les mains tremblantes je me suis donc lancée dans l'aventure. La bouteille d'eau et les papiers retirés de la partie centrale du camion, je m'y suis allongée sur le ventre pour accéder à ses cuisses. Il a reculé son siège et m'a aidé à ouvrir le bouton. De son slip noir Eminence, j'ai pu extraire une belle queue chaude déjà gorgée de désir. Avant même qu'il ne me le demande, je me suis avancée pour le sucer. Ma honte s'effaçant pour faire place à mon excitation grandissante je me suis éclatée avec son gros gland que je voyais bien ailleurs....

Quand ses doigts ont commencé à caresser mon dos puis mes seins à travers mon chemisier sage, j'étais comme une chatte en rut. D'une main ferme passée derrière ma nuque, il m'a forcée à le prendre entier, sur le coup, j'ai eu peur qu'il jouisse, parce que moi, mon envie était de finir dans la couchette. De fait, ma langue a cessé de titiller pour freiner la montée de sève. Quelques kilomètres plus tard, il s'arrêtait dans un parking. Les rideaux de la cabine tirés, il m'a envoyé dans la couchette puis avec un grand sourire toujours aussi charmeur, m'annonça avec humour, qu'il ne serait pas fâché de voir la « jolie marchandise s'offrant à lui ».

Dans un état d'excitation avancé, retirer mon chemisier et mon soutien-gorge se fit naturellement pour moi, le pantalon fut plus délicat. Il m'accompagna dans le geste difficile, en embrassant mes seins avant d'en mordiller les tétons. Instinctivement, je me suis cambrée pour offrir mon entrejambe à sa main devenant plus virile, moins d'une minute plus tard, j'étais totalement à poil. Soulevée comme si j'étais aussi lourde que son GPS, je me suis retrouvée à quatre pattes, on ne peut plus exposée à sa virilité débordante. Il a enfilé un préservatif puis s'est amusé à agacer mon sexe trempé. En grand sadique, cet enfoiré s'est ensuite amusé à titiller l'entrée de ma chate éplorée mourant d'envie de lui. La chose n'a pas tardée, il m'a attrapée par les hanches pour éviter toute tentative de fuite et s'est enfoncé en moi d'un seul coup. Quelques minutes plus tard sous les divines sensations, profondément labourée je mordais sa couette pour ne pas hurler de plaisir.

Moyennant un supplément de 25 euros, il a obtenu le droit de me sodomiser, droit qu'il aurait pu avoir gratuitement dans l'état où j'étais. Prestement retournée, avec mes jambes sur ses épaules et ses bras en guise de barreaux je devenais sa proie. La pénétration fut lente et difficile malgré mes envies à cause de la taille de son sexe. Avec son sourire charmeur, il m'a annoncé qu'il allait en prendre pour ses 25 euros et que je n'allais pas regretter d'avoir traité avec lui. Emmanchée jusqu'à la garde, j'ai crié que j'avais mal mais cette fois, il n'a pas été aussi galant. En vrai gougeât il m'a littéralement labourée avec un rythme endiablé comme si de rien n'était. J'avais voulu jouer à la pute et il me traitait comme une pute ! Il m'a fallut un moment pour me détendre mais quand j'ai commencé à perdre la tête, je suis devenue folle. J'étais sa chose, son jouet, c'était si bon que j'avais envie qu'il entre en moi, qu'il aille toujours plus loin, plus fort. J'ai jouis de partout, du cul, des oreilles qui bourdonnaient, du dos, du ventre, mon corps entier convulsait. Après que j'ai totalement perdu la raison il s'est retiré puis a arraché le préservatif en attirant ma tête à lui, j'ai ouvert la bouche pour absorber sa queue crachant sa sève généreuse. Le nez dans ses poils avec sa main derrière ma nuque, j'ai n'ai eu d'autre choix que de le recevoir tout entier au fond de la gorge. En d'autre temps j'aurais hurlé, là, j'étais dans un autre monde....

Il a déposé un baiser sur mes lèvres puis s'est rhabillé en me laissant toute pantelante sur sa couchette pour reprendre la route. Il m'a fait des tonnes de compliments sur ma beauté, mon intelligence et sur ma gourmandise au lit en me disant que mon mari aurait beaucoup de chance. Depuis cette aventure, j'ai fait plus souvent les trajets Paris Marseille et quand les mecs me plaisaient, je tentais le coup. Cela marchait une fois sur trois, une fois sur trois, je prenais 100 euros minimum en m'éclatant une fois sur deux.

L'homme qui m'a accompagnée dans mes premiers pas en prostituée m'a laissé son numéro de téléphone, je suis devenue sa maîtresse et « pute » avec grand plaisir mais il avait droit à des trucs en plus que mes clients occasionnels comme des coups gratuits et dormir chez moi quand il y a eu la neige.

Aujourd'hui vétérinaire gourmande et sans regret je me suis mariée, j'ai divorcée et je suis déçue par les hommes sauf avec lui qui hélas est marié. Il devrait neiger toutes les semaines.....

Amandine

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